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A Sample of Life

7 novembre 2010

Chapitre Quatre

Il est temps de faire quelque chose d'intelligent. Tirer un trait sur les erreurs déjà commises et depuis longtemps déjà irréparables. Se concentrer sur ce qui peut, ou doit, être fait, pour (r)assurer que tout va bien.
Oui, les gens, si vous vous inquiétez pour moi, passez donc votre chemin. Je vais bien... Si les temps ont été dur, et que le moral n'a pas toujours été là (cf l'article d'avant), j'ai sorti la tête de l'eau.

Chose étonnante s'il en est, il n'est nulle part mentionné que j'ai décroché de ma drogue qu'était Ragnarök. Et oui, j'ai complètement décroché, même pas un p'tit shoot de temps en temps. J'ai arrêté depuis plus de quatre mois maintenant, et il est vrai que j'ai eu envie parfois. Mais regarder en arrière, sur ce qui m'a fait faire d'aussi intéressantes rencontres, et m'a enfin permis de faire quelque chose à haut niveau (j'estime que oui, c'était du haut niveau), me rempli d'une fierté probablement assez déplacée. Oui, j'ai été accro à ce jeu, et j'en suis sorti. J'étais bon, je le suis peut-être même encore, mais qu'importe, l'envie de jouer n'est plus aussi forte sans les gens que j'y ai rencontré. RulZ le premier, toutes les personnes que j'y ai rencontré m'ont apporté quelque chose, ont transmis un peu d'elles, et m'ont permis d'évoluer. La liste exhaustive n'apporterait guère, car tous ceux qui m'ont connu sur "RO" savent qui je suis, et savent ce que je leur doit. Des fous rires, des prises de tête, des stratégies invraisemblables, des défaites, et très souvent, de belles victoires.Sachez que si on se parle moins qu'avant, ce n'est pas parce que je vous aime moins. Chacun d'entre vous m'a marqué, à sa façon. Merci à tous ceux qui ont partagé mon expérience de jeu. J'ai joué pendant presque neuf ans, cette page de ma vie est fermée.

Je suis aujourd'hui, à deux jours de mon premier partiel en tant que "vrai" doublant. Je me suis assagit, je ne sèche plus par plaisir, et j'en fais sans doute un peu trop pour certains. Pourtant, mes crises de stress se sont calmées, je réfléchis mieux, et plus vite qu'avant. Plus d'angoisse pré-partiel, parce que je n'ai pas assez révisé. A deux jours de l'examen tant redouté, je suis prêt, je vais tout donner, et j'espère vraiment faire péter le compteur de score. Evidemment, j'ai maintenant trois ans de retard, mais si j'ai mis du temps à trouver ma voie, je m'en excuse. Les démangeaisons ont presque disparu, et j'ai même maigri (et pas qu'un peu). Je m'atèle à être une meilleure personne. Je ne veux plus me coucher en me disant "j'aurais du faire ça, et ça aussi". Peut-être que les changements qui ont opéré depuis le début de cette année scolaire suffiront. J'essaye d'être sérieux dans mon travail, et de ne plus rendre quelque chose de baclé. Je m'organise plus, j'essaye d'aller à l'essentiel de ce qu'on me demande, d'éviter les choses qui ne sont que du "sucre syntaxique". Mon emploi du temps est plus plein qu'avant, d'une part à cause de mon sérieux en cours, d'autre part parce que je me suis investi dans un projet.
Un jeu dans un navigateur web, en développement, dont je fais parti. La conception du travail de réflexion, ainsi que les discussions animées de cette équipe sont une chose qui me fait du bien. J'y apporte des idées grâce à mon expérience de "gamer" tandis que eux m'expliquent que certaines choses ne sont pas réalisables ou souhaitables dans ce jeu. J'ai hâte de voir le produit fini (le sera-t'il un jour ? Je l'espère)
Je suis aussi en stage à l'IRIT, dans l'équipe IHCS. Enfin en stage, disons que jusqu'à Janvier (jusqu'au 15) je donne un coup de main. Pour l'instant, mon travail est un peu rébarbatif, puisqu'il s'agit d'ajouter une fonctionnalité qui a déjà été ajoutée (??) à un clavier virtuel. Il devrait décoller mercredi, nous verrons bien. La deuxième partie promets d'être plus intéressante, puisqu'il s'agit de reprendre le projet de clavier virtuel pour les handicapés atteint de troubles de la mobilité et de l'intégrer a un clavier très utilisé d'aide à la navigation Web. On m'a en plus parlé de faire essayer le clavier à des personnes qui seraient directement utilisatrices d'un tel produit. J'espère que tout se passera bien pour qu'on puisse enfin leur permettre d'utiliser un ordinateur, et le Web, sans que ce soit trop fatiguant.

Pour ceux qui l'ont remarqué (y en a bien un qui va lire ce blog et qui lisait l'ancien), j'ai changé de blog, d'une part parce que 'Crosoft a décidé que sa plateforme de blogging n'était plus assez bien pour moi, et d'autre part, parce que mon cher Sekelkan m'a poussé vers cette plateforme qu'est CanalBlog (et parce qu'il a assuré la migration du produit aussi) Ca me permets donc d'envahir la vie des pauvres innocents qui m'ont sur FaceBook ! Et pour ceux que ma vie intérésse, vous pourrez avoir un aperçu de qui j'ai été, et de mon évolution au fil du temps.

 

Ceci dit, un acte a plus de poids qu'un mot, non ?

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12 juillet 2010

I need it

Je suis au pied du mur.

On est le 12 juillet 2010, à la veille de l’anniversaire de mon couple. Et oui, ça fera demain, 3 ans déjà, que je sors avec Hélène. Cette fille m’a complètement rendu canard. Je suis accro, c’est ma drogue, mon oxygène. Oh je sais, ça fait cliché, mais j’ai vraiment jamais ressenti ça pour personne. J’ai juste envie de dire merde au monde, juste pour passer une heure avec elle. L’amour que je lui porte est clairement mon moteur principal depuis quelques temps. Moi qui ait toujours été plutôt sur de moi, j’ai changé, je me suis remis en question, et j’ai fait des choix que je n’aurai pas cru possible. Tout cela c’est grâce à elle. Que ce soit récemment dans mes choix de vie (être végétarien pendant les vacances, quelle drôle d’idée ?), ou plus profondément dans ma façon d’être, de choisir mes mots, ou de me comporter, cette fille m’a bouleversé. Je me prends à rêver d’une vie commune, d’un toit commun… pourtant je sais que faire des plans sur la comète, ce n’est jamais une très bonne chose, et qu’il vaut mieux être prudent en amour.

D’un autre côté, mes études. Bon ben, j’ai ma licence, ça c’est fait, seulement, j’ai foiré mon M1, et ça, c’est vachement moins cool. Résultat ? Semestre 2 validé, semestre 1, j’ai validé seulement une matière sur les 4. Conclusion, j’en repasse 3 en début d’année. Le bon côté des choses, c’est que je vais pouvoir avoir un stage sur 5 – 6 mois, qui sera donc rémunéré et que si j’me démerde pour être pris à l’IRIT, j’peux toucher pas mal. En plus; pour mes vacances, j’ai trouvé un stage dans une entreprise sympa, qui m’fait faire 9h-17h pour 385€ par mois environ. Le problème ? Parce que oui, y a un "hic".

Ca ruine d’une part mes projets de vacances, et d’autre part, plus ou moins ma vie de couple. Faire le stage, alors que j’ai prévu de partir de temps en temps, ça plante tout, ne pas faire le stage alors que j’ai tout prévu, et que ça serait un vrai plus, c’est complètement illogique. Vive le dilemme merdique dans lequel j’me suis fourré, je ne sais plus du tout quoi faire.

Je sais plus quoi faire, j’ai juste envie de déconnecter, et de laisser la vie avancer un peu sans moi, de reprendre dans quelques temps, quelques jours / semaines / mois, mais on sait tous que ce n’est pas possible. Au final, il risque de m’être très difficile d’avoir rempli ma convention de stage en bonne et due forme, avant jeudi, étant donné que mercredi, c’est un jour férié, mais dans ma tête, c’est tout chamboulé. Poster ici m’aide à y remettre un peu d’ordre, mais comme vous pouvez le constater, c’est loin d’être aussi bien rangé qu’il le faudrait.

Pour tous ceux qui m’auraient un peu perdu de vue, c’était un petit aperçu de ce qu’est ma vie aujourd’hui…

2 juillet 2008

Third Chapter

Fiouuuuuu, ça fait longtemps dites donc ! Me voilà, bon grès mal grès, amené à écrire ce troisième chapitre ! Il était temps penserons certains (J’aurai donc des lecteurs fidèles ?), pour d’autres, ce billet n’intervient que trop tôt.
Refaire le point régulièrement sur ces choses qui nous tiennent à coeur, voilà ce qui compte ici.
J’ai pris du recul quand aux 3-4 dernières années, finalement, j’ai toujours du mal quand je "clos" une relation. Les gens m’aiment tout de suite moins. Je pense à des gens comme Tay~, Calou, et probablement d’autres qui pensent que dans le fond, je ne suis qu’un connard qui cache bien son jeu. On m’a dit que j’étais trop gentil (j’en parlais dans le billet précédent) et c’est peut-être vrai, mais j’ai appris, je crois, grâce à certains joueurs de Ragnarok (Nyu surtout en fait °°’) à dire les choses comme je les pense plus que comme j’aimerai qu’elles soient. Dire à quelqu’un quelque chose qui ne lui fera pas plaisir, même si c’est la vérité, c’est ça qu’on doit faire ? Peut-être, j’me cherche encore (un vrai ado, je sais je sais…)
La nouvelle est tombé, un de mes meilleurs amis pars en Erasmus. C’est le deuxième qui se barre loin, l’autre est déjà revenu. Ca fait chier de moins pouvoir le voir mais bon, j’ai pas le choix. Je suis, techniquement, content pour lui, mais égoïstement, j’ai pas trop envie qu’il parte, j’veux le garder près de moi. Mais je fais contre mauvaise fortune bon coeur, et je pense que j’irai le voir si j’ai le temps et l’argent. Fait chier ce grand monde, j’perds les gens que j’aime de vue, même si j’le veux pas. J’ai toujours voulu rester près de mes amis, mais à notre âge, on a tous envie de voyager, et les gens s’éloignent, et forment de nouveaux cercles d’amis. On est tous condamnés à ça, rencontrer des nouvelles personnes, et créer de nouvelles relations. On s’en rends pas toujours compte, mais la distance, et le temps, nuisent souvent aux relations qu’on a avec notre entourage.
Côté coeur, nous y voici. J’ai appris que j’ai fait du mal à ma chérie, même si je sais pas ce que c’est. Comment lui faire comprendre que ça m’inquiète, que j’ai peur de la perdre? J’ai toujours su que la communication était importante dans un couple, du moins si l’on veut qu’il dure. J’ai pas envie de la perdre, mais elle refuse de me dire ce que j’ai fait pour la blesser. Dois-je lacher l’affaire, et attendre qu’elle se livre, si elle le fait un jour ? Ou suis-je supposé m’acharner encore et toujours jusqu’à ce qu’elle cède ? Je sais plus trop quoi faire, j’fais ça au feeling, comme d’hab, mais j’ai peur de faire plus de mal que de bien. Pourquoi est-ce que c’est si compliqué les relations homme-femme ? Finalement, ca s’arrange, tout change ! Il suffit souvent de parler d’un problème pour le résoudre, trop de gens, (moi le premier) n’en ont pas concience.

Pour le reste, je passe en 3ème année, vais-je enfin avoir ma licence ? Il serait temps ! (j’ai 2 ans de retard !)

Côté musique, j’suis dans une période ventre mou, et mon PC à des ratés, il fait que s’éteindre (le boulet).
Un petit billet, que j’essayerai surement de rallonger quand j’aurai des idées !

Farewell~~

13 décembre 2007

Second Chapter

Par où commencer ? La vie est finalement tellement vaste qu’il est dur de la résumer en quelques phrases. Pourtant c’est ce à quoi je m’efforce, mot après mot, billet après billet.

C’est un jour plutôt triste pour moi. A bien y regarder, c’était une journée normale, mais certains souvenirs hantent. Savoir qu’on a échoué dans les choses qu’on voulait absoluement réussir, ça peut faire mal. Ce billet ressemblera sûrement à un "Mea Culpa", parce que je prends conscience que j’ai des choses que j’aurai dû faire, et que je n’ai pas faîtes.

Côté Fac, tout va bien, études au beau fixe, mention en vue au premier semestre, et mon groupe de TD est agréable à vivre (en majeure partie du moins).
Côté coeur, c’est l’été, j’me sens bien, j’ai trouvé quelqu’un qui me va et à qui je semble aller.

La musique, ça va aussi, j’m'éclate comme ça faisait longtemps que ça m’était pas arrivé !

Mais alors pourquoi ce billet ? C’est simple, pour l’aspect de ma vie qui me tient le plus à coeur. Mes amis. Oui, à la courte liste de gens que je concidère comme mes amis proches, ceux pour qui je donnerai ma vie sans hésiter. Je ne les énumèrerai pas, je pense qu’ils savent qui ils sont. C’est donc pour vous que j’écris cette page de ma vie. Quelque chose d’inhabituel, et que je me reproche, j’ai l’impression que je vous ai tourné le dos un moment. Un texto que j’aurai dû envoyer il y a longtemps, des anniversaires que j’ai du mal à retenir, où tout simplement, le manque de conversation entre nous. Autant de facteurs qui font remonter en moi le goût de l’échec. Parce que j’ai peur de vous décevoir, que je tiens à vous, et que je vous aime comme des frères et des soeurs. Des gens de qui je n’ai jamais été autre chose que fier de les connaître, des gens avec qui j’aime parler, rire, et que j’aimerai avoir auprès de moi, pour le reste de ma vie. A tout ceux qui comptent assez pour se reconnaître dans ces lignes, en toute honnêtetée : je vous aime. Je crois que je ne vous l’ai jamais vraiment dit, et que je ne serai jamais capable de vous le dire. Parce que le sentiments que je ressens sont régulièrement soumis à changement. Qu’il m’arrive de m’apercevoir que ça me gonfle au plus haut point de parler à l’un d’entre vous, et que finalement le lendemain, tout va mieux. Vous êtes sept. Sept que je compte garder parmis mes proches le plus longtemps possible. Sachez que je m’excuse, si vous estimez que je vous ai délaissé ces derniers temps. J’ai fait passer ma vie avant la votre, et rien que d’y penser j’en ai honte. Certains penseront que c’est normal, mais c’est ma façon de vivre. D’autres diront que je suis trop gentil, mais c’est la façon dont j’ai été éduqué, les gens que je fréquente ("Dis moi qui tu hantes, je te dirai qui tu es."). Tant pis, j’assumes, je suis trop gentil, j’ai un "coeur de fille" comme certain(e)s disent.

Je pense sincèrement que sans vous j’aurai déjà craqué. J’ai plusieurs fois pensé au suicide, et j’ai toujours renoncé avant d’essayer. Trop de personnes que j’aime ici pour partir. Ca ferai de moi un lâche, alors… même si je ne suis pas super courageux, j’ai toujours eu la force de faire face, parce que j’ai toujours eu des amis, je n’ai jamais vraiment été seul, devant un problème. Oui, j’ai eu cette chance, d’avoir pu me faire des amis, partout où j’allais. Pourtant j’ai toujours été timide. Peut-être que c’est moi qui suis courageux, mais je pense que c’est grâce à mes amis que j’ai pu m’ouvrir aux autres, être capable de réaliser qui j’étais vraiment, ce que j’attendais de la vie. C’est vous qui avez fait de moi ce que je suis aujourd’hui, et j’ai peur d’en avoir déçu certains d’entre vous. C’est pour ça que je vous adresse mes plus sincères excuses.

A tous les sept.

Du fond du coeur.

Les choses que je ressens sont trop fortes pour que je les traduisent en mots. J’aimerai pouvoir vous prendre dans mes bras, tous à la fois, ce serait probablement plus simple que ce long discours, et je tâcherai de le faire un jour ou l’autre.

Vous sept, au moins une fois dans mes bras.

C’est une promesse.

24 août 2007

First Chapter

Pfiouuuu, y a des périodes comme ca, où tout accélère. Y a 36000 trucs qui changent en 2-3 mois, et ca m’donne une pèche d’enfer. C’est donc un nouveau billet loin de la déprime de *It all begins here and now*. Parce que la déprime c’est le maaaal, j’ai décidé de faire face, de positiver, de vivre ma vie, et plus de fuir les responsabilités et les erreurs du passé.

Ma vie qui était il y a quelques mois *au point mort*, a d’un coup décidé d’accélérer… Allez savoir pourquoi. Peut-être que voir la moitié pleine du verre c’est quelque chose que je devrai m’efforcer de faire tout le temps.

Côté études… J’lache l’affaire, les maths c’est pas pour moi. Trop de chiffres tuent les chiffres, j’migre vers la section informatique de ma bien-aimée fac de Paul-Sab. Vraiment parce qu’il faut faire quelque chose, et parce que plus j’avance dans les études plus l’informatique me plait, et plus les maths me dégoutent ! Quand je pense que, l’année dernière, je voulais absolument pas faire informatique… J’me dit que finalement, la programmation c’est pas si mal que ça !!

Côté amis… Aaaaaah, les amis, ça aussi ça bouge, des déceptions suite au silence de certain(e)s, des coups de coeur pour les autres. D’un côté, j’ai besoin de prendre mes distances avec certains, de l’autre, j’veux pas les laisser tomber. C’est donc pris entre deux feux que j’écris ce billet, et je fini par me dire que j’aime ça ! Finalement, j’pense que j’ai vraiment besoin d’eux, au moins autant, sinon plus, qu’ils ont besoin de moi. Parce que sans eux, j’fais du surplace, et que j’ai régulièrement besoin d’un coup d’pied au cul pour avancer ! Et parce que sans eux, j’passerai des journées entières chez moi, bloqué devant mon ordinateur (comment ça, c’est quand même ce que je fais ?)

Côté coeur… J’me sens bien. J’ai trouvé quelqu’un qui me va, avec qui j’arrive enfin à parler (dieu que c’est pas évident pourtant) J’aime à croire que ça va durer, parce que j’pense que les histoires courtes/d’un soir/de cul c’est vraiment pas pour moi. J’ai besoin d’attaches, peut-être pas d’être canard, de garder une certaine liberté, mais j’peux pas concevoir les relations amoureuses (physiques ou non) sans sentiments. Certains vont dire que c’est mon côté *coin-coin*, c’est probablement le cas ! C’est vrai, j’suis facilement canard, j’mange facilement dans la main de celle que j’*aime*, sachant que ça s’ra plus dur quand tout sera fini. Mais j’apprécie probablement plus les choses. J’avais besoin de la donner, ma position sur la *Canard-Attitude*, parce que refuser de s’attacher, c’est maaaal, et que les amis, c’est aussi (et surtout) fait pour nous écouter pleurer quand on se fait plaquer !!

Côté souvenirs… Un truc méchant s’est rappelé à moi il y a 2 ou 3 jours, quelque chose de pas agréable, que j’ai ignoré sur le coup, mais qui me travaille. Je compte pas laisser le passé essayer de me faire croire que j’ai pas évolué. En 3 ans tout le monde à le temps de changer, moi compris ! Je livre ce petit paragraphe sans grand intêret pour vous, parce que je ne peux pas vraiment en parler à ceux à qui je devrai le faire. Ce n’est pas de la honte, mais c’est plus simple de verser ce poison ici que sur des personnes que je refuse de blesser. Donc voilà, je ferai face, et j’vais pas laisser un souvenir pourri me troubler !!! (Ouh que ça fait du bien d’écrire ça!)

Côté Vie Sociale, en ce moment, c’est TRES faible. Je sors peu, je parle peu. J’ai besoin de m’aérer l’esprit avec des trucs abrutissant au possible. C’est même pas une question de flemme, c’est un manque de motivation, un besoin perpetuel d’être seul avec mes pensées. Peut-être que cet article sera le moyen pour moi d’y voir plus clair, et de recommencer des échanges avec le monde extérieur, sinon, ça attendra la rentrée ! Les choses changent autour de moi, et j’ai l’impression que j’ai du mal à garder la tête froide. C’est p’t'être pour ca que j’essaye de m’isoler…

Tout évolue dans la vie. En bien ou en mal, tout le monde et tout change. C’est pas toujours évident, et ca fait pas toujours plaisir, mais ça fait parti du jeu de la vie. Et parce que c’est pas toujours facile de faire le bon choix, on doit se montrer tolérant envers les autres.

Pour un *premier chapitre*, le bilan est plutôt mitigé donc, des trucs vont très bien, d’autres moins… Y a encore pas mal de boulot pour avoir une vie parfaite (non c’est pas mon but, rassurez-vous). A la rentrée, je mets ma vie dans un shaker, je secoue tout ça, et je filtre pour garder le meilleur… Comme ça, qui sait, peut-être que je pourrai faire un *Deuxième chapitre* plus positif ??

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21 avril 2007

All begins here and now

Je refais le point, deux mois après la publication de "Dont Cross The Line".

Ma vie est actuellement au point mort. Ca avance pas, niveau études, niveau coeur, niveau musique, niveau amis.

Certains vont bien, notamment les amis. Je réalise que même si j’dis rien, les même sont toujours là quand ca va pas. J’le sais, mais c’est toujours un plaisir de les avoir. Y a toujours des doutes quand à certains, là des fois, absent d’autres. Allez savoir, peut-être que leur emploi du temps est juste plus rempli que le mien ? Enfin, j’en profiterai pour rattraper ce temps perdu, avec ma "ptite voisine", cet été.

La musique, par contre, j’avance pas. J’ai envie de faire quelque chose, un projet qui me tiens a coeur. Il faut que je le finisse, mais l’inspiration manque. J’ai envie de bien faire, mais rien ne ressort des heures passer sur ma Lag. Ca viendra je sais, faut juste que je persevere, mais c’est pas toujours évident, quand on a l’impression de faire du surplace, de se remotiver. J’ai besoin d’une lead; je touche régulièrement au but sans vraiment arriver à concrétiser mes envies. J’avais jamais pensé que ca pouvait être si dur de faire des compos. Les plans techniques me font souffrir, j’ai pas encore le Shred en moi !

Le coeur, un truc que j’suis pas encore sur de comment c’est supposé marcher. Un coup, ca va, j’me sens bien, un coup ca va plus, j’me sens seul. Enfin bon, on vera, j’sais pas vraiment où j’en suis de ce côté là. J’ai autant envie de rester seul, que de trouver la bonne personne. Les choix sont toujours difficile. Envie d’une histoire courte, ou longue ? Qui sait ? Besoin de se caser, ou de rester libre ? Qui sait ? Seul l’avenir et les "rencontres" que je ferai pourront répondre a mes questions.

Les études… Que puis-je en dire ? Les faits sont là, j’ai pas la motivation nécéssaire pour avancer. Mes notes s’en ressentent. Peut-être que ca ira mieux d’ici Septembre, sinon , rebellote j’ferai une deuxième deuxième année, après tout, c’est pas si grave que ca. J’ai plus envie d’être prof, ca me tente de moins en moins. J’ai peut-être juste besoin d’un peu de temps pour me remobiliser et me remettre a avancer.

Ma vie actuelle refletera demain mon vote… blanc. Je vais voter, non pas parce que j’ai un candidat a soutenir, mais parce que c’est un droit qu’on me donne, et dont je veux profiter. J’irai donc voter, mais faute de mieux, je refuse de voter pour le "moins pire" des candidats (libre à vous de choisir le moins pire) j’irai donc voter blanc, n’en déplaise à certains de mes amis.

Et voilà un ptit bilan de ma vie, made in moi. C’est très blanc…

L’angoisse de la page vierge, peut-être ?

14 février 2007

Dont Cross the Line

Ca fait très longtemps que je n’ai pas mis ce "blog" à jour. Il est plus que temps que je le fasse, surtout que j’ai des choses à dire.

Constater que le monde n’est peut-être pas aussi simple que ce que j’ai voulu croire,constater que les gens ont peut-être moins besoin d’aide que moi, constater que j’ai perdu, malgré tous mes efforts, des gens que j’aimais. Les choses ont juste changé, et peut-être pas comme je l’ai voulu. Certaines personnes ont changé, mais attendent de moi la même ferveur. Les règles ont changé. Je serai probablement un peu plus cynique vis à vis de certains, agréssif vis à vis d’autres, et l’éternel ami des derniers.

J’essaierai aussi d’être moins con que ce que je n’ai été. La rupture avec Calou a fait suffisament mal pour que je ne laisse pas ce genre de choses recommencer. La majorité d’entre nous a vécu des déceptions amoureuses qui ont fait du dégât. Je ne pensais pas pouvoir ressentir les effets de la mienne encore quelques 7 mois après.

Je tourne la page avec ou sans ton accord, avec ou sans le leur. J’en ai besoin, je le fais pour moi, pour ce que je suis, pour ce que je veux être, je le fais pour ceux que je veux aider, ceux que j’aide, ceux que j’aiderai. Je ne peux pas vivre dans le passé éternellement à regretter ce que j’ai perdu, ou pas. J’ai pas envie de ressasser ces choses qui me conduisent au bord des larmes éternellement. J’ai perdu trop de choses en trop peu de temps. Ceci n’est pas un au revoir, ceci est un adieu à ma vie passée, qui restera quelque part, dans des albums photos couverts de poussière, et dans un cadre qui ne sera sûrement jamais réparé. Je porte en moi trop d’amertume, pour pardonner, oublier, ou ignorer ce qui m’a été fait.

Toutes les choses ont une fin, qu’elles soient bonnes ou mauvaises.

Ici commence une autre page…

24 juillet 2006

Mise au propre

Y a des jours comme ça, où on ressents le besoin de mettre au clair, de nettoyer sa vie.

    Je suis désormais célibataire. Calou et moi, c’est fini. Ca a duré assez longtemps pour que ca fasse mal, mais la vie est ainsi faite. Ca fait mal, mais même si je pense que je l’aime encore, je sais que je n’accepterai pas qu’on recommence ensemble, j’ai un peu trop d’orgueuil pour ça. Je ne regrettes pas les moments passés ensemble, seulement, je constate que j’ai probablement moi aussi besoin de passer à autre chose. Je ne suis pas triste que ça se finisse ainsi. On ne s’en veut pas, on continue à se parler, et même si ca ne sera jamais comme avant, je pense qu’avec le temps, on pourra redevenir de vrais amis.
    J’approche les 20 ans, et je fais peut-être une crise, ou pas. J’ai besoin de changer des choses de ma vie. Envoyer valser des choses auxquelles je tiens, en garder d’autres, évoluer. Je dramatise pas, je vie au jour le jour, j’essaye de rester présent pour mes amis, de garder cet état d’esprit que mes proches affectionnent tant. Renouer avec des gens que j’ai perdu de vue, rester fidèle à mes valeurs, découvrir de nouvelles choses, voyager… J’essaye de savoir ce que j’attends de la vie, et ce qu’"elle" attends de moi. Le jour où je saurais pourquoi je suis là, et ce que je cherche, je pense que tout ira pour le mieux. En attendant, je reste un jeune plus ou moins comme les autres, avec ses qualités et ses défauts.
    Côté amis, je m’aperçois que les vrais amis ne sont pas aussi facile que ça à distinguer des "copains". Certains que je tenais pour "copains" se sont révélé bien plus, alors que d’autres n’ont pas forcément prouvé que le titre d’ami était celui qui leur convenait le mieux. A côté de ça, il reste quand même les habituels, ceux sans qui je perdrait obligatoirement pied. Que ce soit Dorian, ou Guillaume, eux sont de vrais amis, en qui j’ai une confiance aveugle, et à qui je dois d’être devenu ce que je suis aujourd’hui. D’autres plus "récents" me donnent envie de creuser, comme Lola, mon ancienne voisine de palier, éternelle voisine de coeur, avec qui j’ai envie de rattraper le temps perdu (quand tu veux, j’suis dispoooo x_o)
    Je ne suis pas malheureux, j’ai juste du mal à trouver ma voie, comme la majorité des gens de mon âge, je penses. J’espère que je pourrai, dans le courant des vacances d’été faire un autre bilan positif de ma vie.
    Merci à ceux qui ont fait de moi ce que je suis aujourd’hui : Isseuh, Calou, Tyme, Dorian, Maud, Lola, et tous les autres…

22 juin 2006

Veille de Vacances

En ce 22 juin, second jour de l’été, je fais le point. Le cap fatidique des 20 ans approche à grands pas (ce que ca peut me vieillir dans la tête ce truc…) J’ai pas l’impression d’avoir vraiment changé. La majorité des choses que j’ai écrites il y a quelques temps, sont restées fondamentalement vraies. J’aime toujours les mêmes choses, toujours les mêmes personnes, j’aime toujours cette vie que certains pourraient trouver insipide. Je ne vies plus ma vie de la même manière depuis que je me suis aperçu à quel point mes amis comptaient pour moi. A tous ceux que je compte parmi mes amis(pas les copains c’est pas pareil), je pourrai donner ma vie, et sacrifier ce qui m’est cher, si ca doit les rendre heureux. Ca fait cliché, ventard, et quelque part martyr, mais pourtant, je le ferai. Rien n’est plus important que ces gens auxquels je tiens plus que tout. Peut-être que ca aidera certaines personnes à mieux me comprendre…

21 mars 2006

Y a des jours comme ca…

Faire le point, savoir où on en est, c’est important. J’en profite pour faire une petite mise à jour de mon "blog"…

Je sors de nouveau avec Caroline… peut-être  que ce break nous a finalement fait du bien à tous les deux… Cette pose, et notre remise en question me permet d’aller de l’avant sur le plan sentimental…

Mes amis, quand à eux, c’est au beau fixe. Je renoue avec mon ancienne voisine, c’est toujours super de se voir !! Et mon meilleur ami a fini sa déprime due au manque de fille dans sa vie… il entame la déprime due aux partiels … La CookEgg reste présente autour de moi, et même si je les vois moins, le soutien à Freak Animals nous réunis tous sous la même bannière !!! Y reste la petite Tyme, que j’peux pas voir parce qu’elle reste loin du sud, et du soleil… mais j’l'oublies pas !!

Par contre, côté travail, c’est un bordel sans nom. Un jour l’amphi est ouvert, et le cours a lieu, le lendemain, tout est fermé, et on se fait couiller >_< Bref, vive la fac, et le CPE aussi (c’est grace à lui, ces vacances innopinées).

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